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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 16:18

 

cliquer dessus pour agrandir les images

 

 

Traduction résumée d'un article publié sur le site Wired The Buddy System, The secret to health and happiness? healthy and happy friends.How a half century of medical data revealed the infectious power of social networks. by Jonah Lehrer


Les éléments d'une étude concernant un groupe de 5 124 personnes aux Etats-Unis, débutée en 1948, ont été retrouvés.

Les documents révélaient déjà le risque des facteurs associés aux maladies cardio-vasculaires, tels que le tabagisme et l'hypertension.

En 2003, deux scientifiques - Nicholas Christakis et James Fowler - ont débuté une nouvelle étude à partir de ces données : les documents indiquaient en effet l'ensemble des noms des relations des participants, amis, collègues, famille.



Nos deux chercheurs ont transformé cette liste en une carte représentant ce réseau humain : il leur a fallu presque 5 ans pour extraire l'ensemble des informations pertinentes, toutes écrites à la main et parfois illisibles. Au final, ils ont établi les connexions entre les différents membres de cette communauté.

L'objectif de cette nouvelle étude était de démontrer la possible influence que nos relations peuvent avoir sur notre comportement, et de fait sur notre santé et notre bonheur.

Le premier élément choisi pour analyse a été l'obésité : en 30 ans, 40% du groupe s'est retrouvé concerné. Sur les graphiques ci-contre, chaque cercle représente une personne et la couleur, sa masse corporelle : la couleur jaune indique l'obésité. Il est intéressant de remarquer que le phénomène semble se répandre par groupe, prenant du poids au même moment.

En 1948, 10% du groupe étaient obèses, en 1985, 18% et aujourd'hui environ 40%.

"Qu'est-ce qui a changé ? Les normes sociales de régime et d'apparence physique. Un ensemble de personnes a découvert au même moment le fast-food", dit Christakis, "ensuite le réseau a pris le relais".



DOCUMENTATION

L'étude [en Anglais]  montre également les liens concernant le tabagisme et le bonheur, et sur la communauté facebook cliquer pour la télécharger [PDF]


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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 00:40

Un milliard de personnes en surpoids ou obèses dans le monde, et plus seulement dans le monde occidental, une restructuration alimentaire complète depuis les années 50, une augmentation constante des diabètes, des maladies cardio-vasculaires, des cancers ou encore de l’ostéoporose, une alimentation riche en graisses, en sucres, en sels… et une espérance de vie qui tend à baisser pour la première fois devant la multiplication des cas d’obésité. Les habitudes alimentaires occidentales sont très clairement mises en cause.  



Depuis le début des années 50, au sortir de la seconde Guerre Mondiale et durant les Trente Glorieuses, nos habitudes alimentaires, se tournant de plus en plus vers la consommation d’aliments manufacturés et industriels, ont considérablement évolué. L’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et la FAO (Food and Agriculture Organisation) se penchent sans cesse sur ce problème. Les liens sont dorénavant établis entre la nutrition et nombre de maladies chroniques s’accroissant sans cesse.

Notre alimentation s’est en effet enrichie en graisses et en aliments à forte densité énergétique essentiellement centrés sur des graisses animales cependant que le modèle alimentaire occidental que nous connaissions avant-guerre était lui basé sur une alimentation fondamentalement végétale.

Cette « nouvelle donne » alimentaire tient un rôle majeur dans la recrudescence de maladies dont les origines sont essentiellement nutritionnelles : la prévalence de l’obésité, des diabètes, des cancers entre autres est de facto en augmentation.

De plus, on peut remarquer que les habitudes alimentaires occidentales, des pays dits riches, ont été exportées dans les pays les moins avancés, les pays du sud, ce qui amène un développement de ces maladies dans des pays où le suivi médical n’est pas toujours aussi pointu que dans les pays riches.

L’alimentation traditionnelle, locale, culturelle, évolue donc fortement, modifiant de fait les modes de vie et les structures économiques de ces pays puisque la consommation de viande augmente notablement, de même pour les produits dérivés animaux, les produits laitiers notamment ou encore les produits à la glycémie élevée : sodas ou glaces, les produits gras tels que les charcuteries ou les fromages. Cette consommation de produits très caloriques se fait souvent aux dépens du pain, des légumes (secs ou non), des fruits ou des céréales.
 
Il faut aussi tenir compte de modes de vies qui se sédentarisent toujours plus et que nous adoptons des alimentations hyper-lipidiques (de plus nous consommons à l’excès des acides gras saturés se trouvant essentiellement dans les produits animaux ), hyper-glycémiques et appauvris en fibres. Un simple constat suffit pour montrer ces évolutions alimentaires : au début du 20ème siècle, nos apports protéiniques étaient essentiellement végétaux quand ils sont aujourd’hui principalement animaux.

De plus, en ce qui concerne les pays pauvres, il ne faut pas mettre de côté les nombreuses carences affectant les habitants dès le plus jeune âge qui, corrélées à la suralimentation (en calories), ajoute encore à la prévalence des diabètes, obésités et autres maladies cardio-vasculaires découlant des obésités.

Qui plus est, l’obésité enfantine se répand de façon considérable, ce qui, à terme, fera augmenter le taux de maladies se déclarant normalement à l’âge adulte. Mais celles-ci pourraient se déclarer de plus en plus jeunes. Le taux de cancers augmente par exemple de plus de 63 % en France entre 1980 et 2000 alors que l’on sait, d’après les études menées par le Fonds Mondial de Recherche contre le cancer, que modifier ses habitudes alimentaires préviendrait près de 40 % des cancers.
 
L’obésité fait reculer l’espérance de vie

Une étude américaine datée de 2005 montre que l’espérance de vie va bientôt se mettre à reculer à cause de l’augmentation de l’épidémie d’obésité, et ce, pas uniquement sur le territoire américain ; il est de même en Europe.

Aux Etats-Unis, la « Framingham heart study » se montre très claire dans ses résultats : le surpoids peut faire perdre en moyenne trois ans de vie, sept pour un obèse, 14 pour un obèse fumeur…

Claude Aubert faisait ce même constat dans son livre publié en 2006 Espérance de vie, la fin des illusions : la multiplication des facteurs de risque (alimentation, sédentarité, pollution, obésité) va faire reculer l’espérance de vie dans les décennies à venir. Il faudra deux à trois générations pour que les effets du déséquilibre alimentaire se fassent clairement ressentir sur notre espérance de vie, mais la mortalité précoce serait, elle, en augmentation, toujours selon C. Aubert : « si nos habitudes alimentaires n’ont pas empêché l’espérance de vie d’augmenter, c’est parce qu’elles sont trop récentes pour avoir déjà un impact notable [...] la première génération à n’avoir connu depuis l’enfance qu’une alimentation proche de celle d’aujourd’hui, trop riche en viande, en matières grasses et en glucides rapides, est née à la fin des années 1960. Elle a aujourd’hui moins de cinquante ans et est donc trop jeune pour que les principaux effets de ces déséquilibres se traduisent déjà par une augmentation sensible de la mortalité. »

Pour encore plus asseoir ces constatations sur nos déséquilibres alimentaires, il faut également se rapprocher de pays ayant conservé leurs habitudes traditionnelles : Une partie du Japon, de la Grèce, la Corée du sud… et surtout en Corée du sud où les taux d’obésité sont beaucoup moins élevés.

De plus, face aux 900 millions de personnes dénutries ou souffrants de malnutrition, nous comptons actuellement près de 1 milliard d’obèses dans le monde enter. Soit 100 millions de plus que de personnes mal-nourries.

Difficile de qualifier ce constat tant il semble cynique.

L’Obobs milite activement pour une prise en charge totale et plurivalente de l’obésité. Ces informations montrent une fois encore que cette approche hygiéno-diététique, psychologique, sportive, sociologique et évidemment médicale, apparaît plus que jamais nécessaire.

La situation sur l’obésité est suffisamment alarmante pour que tout soit mis en place pour soigner les personnes atteintes de ces pathologies, pour réduire le taux de maladies dérivant de l’obésité et ainsi faire en sorte que l’espérance de vie à la naissance ne se voit pas amputée de nombreuses années alors que la médecine l’a fait progresser très conséquemment depuis 50 ans.

Ce hiatus ne doit plus en être un. Nous savons concrètement ce qu’il faut faire pour lutter contre l’obésité, pour améliorer notre alimentation, donc notre qualité de vie et au-delà notre durée de vie.

La prévention apparaît plus que jamais nécessaire… et la prise de conscience se doit d’être collective.





DOCUMENTATION

Des articles relevés dans l'actualité à lire ou relire sur notre

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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 19:14

Dans un communiqué, l'Université de Montréal, nous apprenons que le jus extrait du bleuet nain nord-américain, biotransformé par une bactérie fermentée extraite de la pelure du fruit, constitue un agent anti-obésité et anti-diabétique très prometteur. Selon une nouvelle étude publiée dans le International Journal of Obesity, des chercheurs de l'Université de Montréal, de l'Institut Armand-Frappier et de l'Université de Moncton ont testé sur des souris les effets du jus biotransformé et du jus de bleuet régulier [...] qui a entraîné une réduction de la quantité d'aliments ingérés et du poids corporel [...] et réduit graduellement et notablement les taux élevés de glucose dans le sang des souris diabétiques.




DOCUMENTATION

Lire l'article en Anglais [PDF]

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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 13:24

par Jacques Jolly

En furetant, j’ai découvert un article sur le site du Courrier International - Le Cambodge entre obésité et malnutrition : c’est intéressant de voir que les pays pauvre sont aussi confronté à ce problème.

Lisant beaucoup de presse, voici ce que j’ai glané:
Figaro du 29/30 aout - Le goûter fait sa rentrée chez les grands

Le grand retour du goûter. Après les enfants les adultes réclament eux aussi leur part du goûter. Une récréation gourmande et calorique de préférence. Apparemment l’ère de la minceur et de la privation n’est pas tendance pour la rentrée 2009. C’est le goûter à l’ancienne, avec son bol de chocolat chaud, tartine beurrée ou brioche grillée qui fait l’objet de tous les fantasme. Tous les grands Chefs et les grands chocolatiers s’y mettent. Chacun crée pour l’occasion son chocolat grand cru ou son goûter “signé”. Même Bompoint si y est mis en proposant son chocolat chaud à la mousse de lait parfumée.

retrouvez l'article sur Le Goûter


Tendance et produits nouveaux glanées ici et là:

¤ Arrivée des “bonbecs” pour adultes. Retour en mode des guimauves.

¤ Déferlantes des cupcakes, drôles de minipatisseries pop et kitch couvertes de crème.

¤ Starbucks a décidé de baisser de moitié le taux de sucre et de matière grasse de ses boissons “latte”.

¤ Tendances goûter pour les enfants:
Gourde de compotes “Kalibio”, barres de céréales et galettes de riz sans OGM et retour confiture “maison.

¤ Enfin, l’arrivée des “NA” (nature addicts). Pour eux des pépites de fruits concentré(framboise,cassis etc..)




la discussion a aussi lieu sur

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26 août 2009 3 26 /08 /août /2009 12:27
Une rencontre ayant pour thème : Obésité morbide et diabète de type 2, une seule réponse thérapeutique, la chirurgie bariatrique se tiendra Jeudi 27 août au Palais des Congrès de Paris. Organisée par la Fédération Internationale pour la Chirurgie de l’Obésité et des Désordres Métaboliques, le Congrès Mondial de l’IFSO fait suite aux récentes études montrant un important recul de la mortalité chez des patients ayant eu recours à cette chirurgie bariatrique, baros en grec signifiant « le poids ».
 
En ouverture de ce congrès, Roselyne Bachelot, ministre de la Santé, rappellera, lors de la session sur l’épidémiologie de l’obésité, l’engagement du ministère de la santé en matière de prévention, de sensibilisation et de prise en charge de l’obésité.

Ce rappel sera des plus nécessaire si l’on estime qu’en Europe moins de 1 % des obésités morbides sont prises en charge médicalement alors que l’Europe compte plus de 130 millions de personnes atteintes et la France près de 6 millions.
 
La chirurgie bariatrique s’adresse essentiellement à des personnes ayant un IMC supérieur à 40 ou entre 35 et 39 aggravé par des ALD (Affections de Longue Durée) telles le Diabète de type 2, les maladies coronariennes ou les syndromes d’apnées du sommeil.

La chirurgie de l’obésité



Si l’on parle de chirurgie dans des cas précis, c’est que les prises en charge non invasives ont montré leurs limites selon les médecins. Le sport, les régimes, la diététique, ne suffisent plus. Il faut donc réduire l’absorption des aliments. Il est donc nécessaire de mettre en place une chirurgie intervenant directement sur les organes de la digestion. Ce processus pourra ensuite être complété par un suivi diététique, sportif et éventuellement psychologique.
 
Rappelons les 4 types d’interventions possibles :

L’anneau gastrique
Le ballon gastrique
Le court-circuit dit « Roux en Y »
Le court circuit bilio-pancréatique avec court-circuit duodénal.

Chacune de ces techniques chirurgicales est à envisager avec les équipes médicales. Le choix se fait en fonction de paramètres liés à l’IMC, aux habitudes alimentaires du patient, aux pathologies liées à l’obésité, aux antécédents chirurgicaux, médicaux, cardio-vasculaires, etc.  

Toutes ces techniques ont pour but de réduire l’absorption des aliments et visent à provoquer un déficit, une mauvaise absorption intestinale en aliments donc en calories. Cette moindre absorption sera dans tous les cas complétée par des compléments alimentaires vitaminiques et en sels minéraux de façon à éviter les carences et à amoindrir les conséquences de ces actes chirurgicaux lourds.

La chirurgie bariatrique, qu’il s’agisse d’un shunte, d’un anneau ou d’un ballon reste cependant, il faut le dire et le redire pour éviter toutes les dérives potentielles, le recours des malades atteints d’obésité sévère voire morbide et après avoir envisagé ou essayé toutes les solutions non chirurgicales.

Ce congrès sera donc l’occasion de faire le point sur les avancées en matière chirurgicale, diététique, médicale, de façon à permettre une meilleure prise en charge des patients. Il permettra surtout, peut-être, de traiter davantage de patients par une meilleure information rassurante, pertinente et plus complète. Ces traitements peu invasifs - puisque menés sous laparotomie (ouverture de l'abdomen par une incision large, laissant le passage direct à d'autres actes chirurgicaux sur les organes abdominaux et pelviens) -  permettront de sauver des vies, puisque, rappelons-le, l’obésité est la seule pathologie qui tend à pouvoir faire baisser l’espérance de vie globale tandis que celle-ci augmente très régulièrement depuis des dizaines d’années.

L'équipe de l'Observatoire de l'Obésité souhaite rappeler que toute intervention chirurgicale nécessite de façon absolue une prise en charge nutritionnelle da façon à améliorer le comportement alimentaire, à éviter les carences mais aussi à palier toute complication post-chirurgicale. De même, une approche comportementale s’avère impérative pour travailler des troubles sur l'image de soi et de l'estime de soi. Cette approche vise également à améliorer -entre autres- les comportements alimentaires, la qualité de vie et ce, à long terme. En effet les tendances à l’indécision, au pessimisme ou au désespoir peuvent avoir une réelle influence sur l’obésité et / ou sur sa guérison. Une approche globale de l’obésité s’avère donc fondamentale dans la suivi post-opératoire.




DOCUMENTATION

Lire le témoignage d’une jeune fille qui a eu recours à l’opération et à l’anneau pour changer de vie partie 1partie 2
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5 août 2009 3 05 /08 /août /2009 14:06

Le Dr. Pierre Azam, fondateur de l'Observatoire de l'Obésité (obobs) et Anne-Sophie Joly, Présidente du CNAO ont été reçus à l'Assemblée Nationale par Valérie Boyer, députée de la 8ème circonscription des Bouches du Rhône. Celle-ci a très aimablement accepté pendant une heure d'échanger et de répondre aux questions de Bertrand Dussauge, ancien fondateur du dietobservatory.com, qui a mené l'interview.


Son
rapport d’information sur la prévention de l’obésité, adopté en septembre dernier, comporte 80 propositions. Femme de conviction, son combat comporte trois étapes principales :


1. la lutte contre la dictature de l'image corporelle affichée par tous les médias et la lutte contre les discrimination aux personnes obèses ;

2. la recherche d'une solution à un problème de société qui dépasse celui de la santé ;


3. l'adhésion aux valeurs de l'Obobs qui fait intervenir des professionnels de la philosophie, du sport, de la santé, de la psychologie, de la communication, ..., au travers d'un Comité Interdisciplinaire dans le débat.


Madame la députée dénonce le mensonge des images publiées dans les médias qui sont pour la plupart retouchées et qui provoquent, de fait, une mauvaise perception de l'image corporelle. Les présentatrices de télévision doivent entrer dans cette dictature de l'image "parfaite" qui invitent les jeunes à imiter ce modèle de beauté comme une référence unique. Valérie Boyer serait favorable à la création d'une mention « image corporelle retouchée » que les médias afficheraient sur les images retouchées.

Même si les dépenses de frais thérapeutiques directs ou indirects liés à l'obésité représentent plusieurs milliards d'euros chaque année, le coeur du problème se trouve dans les comportements de notre société et non dans une simple politique de santé publique. Pour illustrer son propos, Valérie Boyer donne en exemple le fait que les jeunes passent aujourd'hui plus de temps sur les différents écrans (télé, ordinateur, téléphone) qu'à pratiquer une activité physique, comme aller en cours simplement à pied, quand cela est possible.

Pour Valérie Boyer, l'approche pluridisciplinaire de l'Obobs est bonne dans le sens qu'elle invite dans le débat l'ensemble de l'encadrement humain de jeunes ou de personnes confrontées aux problèmes de surpoids et d'obésité et les sensibilise à la mise en place de "bonnes pratiques". De la famille aux enseignants, du médecin aux intellectuels sans oublier les élus, les animateurs de sports et de divertissements, tous doivent pouvoir s'exprimer sur les comportements responsables qui peuvent modifier le bien-être de nos citoyens comme ceux de tous les pays.

Cette approche pluridisciplinaire rejoint la proposition de Valérie Boyer de faire de la lutte contre l’épidémie d’obésité et de surpoids une grande cause nationale. En effet, une telle labellisation permettrait d’agir de façon transversale, dans tous les domaines : santé, éducation, environnement, sport et bien être, activité physique, nutrition, discrimination, audiovisuel…

 

 

Courrier de Valérie Boyer au Premier Ministre

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