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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 14:32

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Il y a un an l'annonce de la mise en vente d'Alli sur le marché de l'automédication avait bousculé un certain nombre d'a priori. Aujourd'hui, Alli a tenu ses promesses et son succès tient en un mot : Alli n'est pas seulement un médicament, c'est un programme !

 

Fort d'une analyse pertinente menée très en amont, il n'a jamais été question pour GlaxoSmithKline, le laboratoire qui produit Alli, de laisser un tel médicament oeuvrer seul dans la nature...

 

Ainsi, c'est armé à la fois d'un programme de formation inédit des pharmaciens et de toute une batterie d'outils d'information et d'accompagnement qu'Alli a été mis en circulation.

 

Il est à noter qu'Alli a relevé le défi d'être le premier médicament sans prescription médicale autorisé par la Commission Européenne. Pour prétendre à une telle reconnaissance, Gsk a également tenu à ce qu'il soit vendu "derrière le comptoir", obligeant celles et ceux (25% des utilisateurs sont des hommes) qui souhaitent s'engager dans la lutte pour leur santé, à obtenir les conseils avisés de leur pharmacien.

 

Alli représente donc une solution pour un grand nombre de personnes qui souhaitent se prendre en charge de façon sérieuse et autonome dans le cadre de leur perte de poids, tout en bénéficiant d'une information adaptée.

 

GSK défend l'idée à la fois de n'être qu'un des nombreux acteurs parmi les dispositifs de la lutte contre l'obésité, mais également le fait que la perte de poids ne peut être la résultante seule de la prise d'un médicament : ainsi les recommandations faites au travers des conseils dispensés par les pharmaciens ou sur leurs supports d'information, incitent veritablement à opérer un changement dans son comportement.

 

Les premiers résultats au bout d'un an sont assez pertinents : 60% des utilisateurs reconnaissent avoir une alimentation moins grasse, 37% grignotent moins entre les repas et 37% mangent plus de légumes. Afin d'affiner la connaissance des conditions d'observance de son programme et l'impact d'Alli sur ses utilisateurs, GSK s'associe avec le CVAO pour mettre en place un observatoire auprès des pharmaciens afin de suivre une cinquantaine de personne sur un an. Les résultats de cette étude sont attendus pour fin 2010.

 

 

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 08:31

 

Etchebest-C.-20100326-0009-Pierre-MEUNIEDSC_0864.jpgChef Cuisinier et propriétaire de plusieurs restaurants, « Le Troquet » dans le 15ème arrondissement de Paris, et plus récemment « La Cantine du troquet » dans le 14ème , Christian ETCHEBEST est un passionné.

 

Amoureux des bons produits du terroir, la sincérité, l'authenticité et le « manger bon » marquent sa cuisine. Il intègre aujourd’hui le comité de pilotage de l’Obobs pour nous faire partager sa générosité, ses connaissances culinaires et son goût pour une cuisine de saveurs et d’équilibres.

 

Rencontre avec la cuisine, le goût, les saveurs, avec un chef sachant ramener « la bonne bouffe » sur des bases parfaitement saines.

 

*          *         *

 

Obobs : Comment définissez-vous votre cuisine ?

 

Christian Etchebest : je propose une cuisine de tradition revisitée, assez simple, en faisant toujours attention au goût du produit. Je ne masque pas le goût derrière des épices, il faut avant tout que le produit que je sers ressorte. Quand je sers une poitrine, elle est juste snackée, je l’accompagne avec un jus simple pour que le plat reste authentique. Et toute ma cuisine est sur ce principe.

 

O : Vous employez souvent l’expression « manger bon »… pour un cuisinier comme vous, cette expression signifie quoi ?

 

C.E. : je vais chercher les bons artisans, simplement. La France bénéficie d’un terroir extraordinaire. La mode actuelle est d’aller chercher à l’étranger de nouveaux goûts alors qu’on a tendance à oublier ceux que nous avons en France. Moi, je veux mettre en avant cette richesse patrimoniale exceptionnelle. Mes endives sont des endives de plein champ, les jambons de Bayonne que je sers sont séchés en plein air, au gré des vents. Et je vérifie chaque produit, chaque vin, en allant sur place. Je goûte tout, je connais tous les artisans avec lesquels je travaille. Certains étaient sur le point de crever, je fais redécouvrir leurs produits. C’est ça « manger bon », c’est manger authentique. Mon métier de cuisiner, c’est aussi aller chercher ces artisans et les défendre.

 

O : Pourquoi, bien qu’on commence à le comprendre, voulez-vous vous engager aux côtés de l’Obobs ?

 

C.E. : mon engagement, à part mon amitié pour Pierre Azam avec lequel on partage une vraie passion pour le rugby, c’est la volonté de lutter contre l’obésité pour ne pas finir en France comme les américains ont fini. Je veux ici défendre « la bonne bouffe » et quand on voit toute la malbouffe à laquelle on est confronté, on a vraiment envie de lutter. Un resto n’est pas forcément plus cher que de la malbouffe. Un mauvais menu McDo coûte la même chose qu’un bon plat dans un resto abordable, et au moins, c’est équilibré. Il faut faire passer ce genre de message dans les médias. Malheureusement, McDo est entré dans les mœurs. C’est devenu normal et facile d’y aller mais des artisans comme nous proposent des plats meilleurs et pas forcément plus chers, encore une fois. Il faut donc faire redécouvrir une cuisine française, équilibrée, de terroir et uniquement faite avec des produits frais. Les congélateurs devraient être interdits en cuisine. On ne devrait travailler que des produits frais, exclusivement.

Etchebest-C.-20100326-0033-Pierre-MEUNIEDSC_0889.jpg

En plus, on peut facilement aller dans un bistrot. Il y en a partout dans Paris, ils sont faciles d’accès, la cuisine traditionnelle est donc ouverte à tout le monde. Il faut faire redécouvrir la vraie cuisine. Il ne faut pas aller chez McDo tous les jours parce que c’est rentré dans notre fonctionnement alimentaire. Il faut retourner, à l’inverse, dans une vraie cuisine, avec de vrais produits. Et j’insiste là-dessus. Lutter contre l’obésité passe par la vraie cuisine, avec de vrais produits frais, de saison. C’est important. C’est la lutte du marketing contre la vraie cuisine qui fera baisser l’obésité.

 

O : Quand un cuisinier s’associe à une industrie agro-alimentaire, ça vous pose problème ?

 

C.E. : Si le cuisinier n’est qu’un prête-nom, c’est gênant. S’il prend juste le chèque sans faire gaffe à ce qu’il signe aussi. Par contre, s’il va en cuisine, s’il élabore une recette avec de vrais produits, qu’il suit des recettes traditionnelles qu’il adapte à la fabrication industrielle sans perdre le goût, sans ajouter une tonne de graisse, de sel, tout va bien. Il ne faut pas que l’industrie détruise le goût de la recette. Ca peut donc être bien s’il y a un respect des produits quand on passe à la fabrication à grande échelle.

 

O : Vous proposez à La Cantine du troquet des petits déjeuners particulièrement complets, pourquoi ?

 

C.E. : Pour les mêmes raisons que celles que je donnais tout à l’heure. Je fais une cuisine de patrimoine, et mon métier, c’est aussi la défense de la richesse culinaire. L’intérêt des petits déj, comme pour toute ma cuisine, c’est tirer justement la cuisine vers le haut. Je propose des petits déjeuners avec du sucré et du salé. C’est un vrai petit déjeuner français complet en tirant vers le haut la qualité de tous les produits. Ce n’est pas une formule à 7 € avec des produits de mauvaise qualité, avec un jambon polonais bas de gamme, mais de vrais jambons dont j’ai pu vérifier la qualité.  Cela devrait être le devoir de n’importe quel cuisiner de tirer toute la cuisine vers le haut ; et ça éviterait la malbouffe et tous les problèmes qu’on connait depuis quelques années.

 

O : Quels conseils vous donneriez, en tant que cuisinier, pour revenir à l’équilibre alimentaire ?

 

C.E. : C’est évident. Il faut commencer par suivre les saisons. Chez les fromagers, les maraîchers, sur tous les marchés, on ne doit acheter que des produits de saison. C’est ce que je fais, ce sont ceux que je cuisine. Les artisans connaissent leurs produits et doivent refaire l’éducation à ce qu’ils vendent.  Il faut prendre nos enfants par la main. Il faut leur expliquer ou se faire expliquer les produits sur les marchés. Ça s’est malheureusement perdu. Donner la priorité aux marchés, aux vrais produits est essentiel, il faut éduquer les enfants à la tradition, au manger bon, à la vraie cuisine de saison si on veut les garder en bonne santé. Il ne faut surtout pas passer à côté. C’est la même chose quand on forme des jeunes en cuisine. On doit tout leur réapprendre sur les produits, les saisons. On n’a pas le droit d’oublier ça dans une cuisine. On est responsable de ce que l’on fait, de ce qu’on cuisine. On défend un patrimoine.

 

 

Photos : (c) Pierre Meunié, tous droits réservés

 


 

 

Pour aller dans le sens de ce que Christian Etchebest évoque, il est possible également d’emmener vos enfants à la  Cité des Sciences et de l'Industrie, à Paris, où se tient une exposition absolument essentielle : Comment faire pour lier le plaisir et une alimentation équilibrée ?  « Bon Appétit : l’alimentation dans tous les sens » donne aux enfants et à leurs parents les moyens de mieux comprendre les règles d’une bonne alimentation et ses enjeux.

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 10:12

sarkozy-obamaDemain soir le couple Sarkozy dînera chez les Obama. Tandis que Carla Bruni-Sarkozy vient de faire le bilan de la première année d'activité de sa fondation et que Michelle Obama a lancé "Let's move !", les présidents patinent de leur côté entre un rapport sur l'obésité qui n'a produit aucune action depuis le 15 décembre dernier et une loi sur la santé publique qui se fait démonter après adoption.

Est-ce qu'un dîner pourrait faire avancer les choses ?


Il serait bon que l'exemple de Michelle Obama infuse le temps du dîner pour que notre Président rentre avec l'intention d'agir enfin concrètement, quitte à copier simplement la première dame d'Amérique.

L'Obobs existe depuis un an et  mobilise progressivement les acteurs de terrain et même institutionnels autour de ses propositions, tandis que la Commission dirigée par Anne de Danne a travaillé d'arrache-pied pour proposer un rapport qui laisse en suspend toutes les personnes intéressées depuis plus de 4 mois ! Il en a fallu moins à Michelle Obama pour mettre en action son programme de lutte contre l'obésité... Est-ce encore la lourdeur administrative et législative de la France qui bloque ou un souci de hiérarchisation des urgences ? Pourtant la Commission a du travailler dans des délais très courts, la demande venant en direct de Nicolas Sarkozy, sensibilisé à la nécessité d'agir... vite.

Dans un peu plus d'un mois aura lieu la
première Journée Européenne de Lutte contre l'Obésité, sur une initiative anglo-belge... il reste donc peu de temps à la France pour montrer sa capacité d'action contre cette épidémie déjà reconnue Grande Cause Nationale dans la plupart des pays...
 

 

 

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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 21:38

valerie-boyer.jpg

 

La décision récente d’Air France dont nous nous étions fait l’écho sur l’Obobs a entraîné une vague de critiques légitimes. Vouloir faire payer à une personne obèse ou de forte corpulence le prix de deux billets d'avion s’avère à l’évidence totalement inadmissible économiquement parlant mais cet état de fait favorise la discrimination.

De fait, Valérie Boyer, député des Bouches du Rhône souhaite qu’une loi soit votée interdisant formellement de surtaxer une personne de forte corpulence achetant un billet d'avion.

L’exposé des motifs mis en avant font état de la modification de la corpulence moyenne : les enquêtes montrent qu’en 2009, 14,5 % de la population adulte française sont obèse (soit 6,5 millions de Français) et 31,9 % sont en surpoids. En 12 ans, la part des Français obèses a augmenté de 70 %, et chaque tranche d’âge a grossi en moyenne de 3 kilogrammes. Le tour de taille moyen des français a augmenté de 4,7 cm. Il passe de 85,2 cm en 1997 à 89,9 cm en 2009.

Dès lors, les compagnies aériennes doivent s’adapter à cette réalité qui est tout sauf économique, mais sanitaire, dans l’aménagement des cabines. En France, de nombreuses compagnies de transport en commun adaptent la taille des sièges au gabarit des populations, la SNCF et la RATP notamment. Il est troublant, voire aberrant de voir que les compagnies aériennes, à ce jour, n’ont rien changé. Par exemple, en 2008, une compagnie aérienne et un voyagiste français ont solidairement été condamnés à acquitter 8 000 euros d’amende pour avoir contraint un passager à acheter un second billet. Il apparaît donc inacceptable qu’Air France ou toute autre compagnie aérienne souhaite faire payer 75 % du prix d’un second billet à leurs passagers obèses, sachant que ceux-ci seront de plus en plus nombreux dans les avions, si l’on en croit les courbes de la prévalence de l’obésité en France et dans le monde.

La proposition de Loi de Valérie Boyer est donc très claire :

« Après l’article L. 322‑3 du code de l’aviation civile, il est ajouté un article ainsi rédigé : ‘Aucun supplément de prix, même pour l’acquisition d’une seconde place à prix réduit, ne peut être exigé au motif du poids ou de la corpulence d’un passager.’ »

Ce simple texte à la portée sociale, économique, morale, évidente montre à quel point les compagnies aériennes devront d’adapter aux réalités sociales et médicales.

Gageons que le message soit entendu et la loi votée pour que ce type de discrimination et de vexation ne devienne pas systématique.



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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 20:41

logo_letsmove.gifAussitôt dit, aussitôt fait. Michelle Obama, la première dame des Etats-Unis a lancé sa campagne de lutte contre l’obésité et le surpoids des jeune au travers de sa campagne Let’s Move. Elle est parti du principe que la maladie Obésité n’était pas une maladie comme les autres. On connaît à priori le traitement avant toute expérimentation clinique.

La solution va de soi.







Elle institue donc une campagne qui se résume à trois axes forts :
- Pratique d’une activité physique
- Une alimentation équilibrée dans les écoles
- Un étiquetage clair de la nourriture

Simple, d’autres diront naïf, en tout les cas cela a le mérite de la clarté.

Elle ne remet pas en cause le goût qu’elle partage avec les américains pour les fast-foods, reconnaissant qu’elle aime les hamburgers , les frites , la glace ou les gateaux.

Elle veut simplement se battre pour la mise en place d’une éducation du «mieux s’alimenter» et de l’activité physique.

Elle proclame vouloir aider les gens à trouver un équilibre afin qu’ils s’exposent le moins possible aux pathologies mortelles liées à l’obésité, largement évitables tout en tirant du plaisir de ce qu’ils mangent, que les enfants jouent et bougent, «tout en faisant un bon gros repas de temps en temps».

Elle n’oublie pas que un enfant sur trois est touché par le surpoids , Près de 20% des enfants de 6 à 11 ans et 18% des 12-19 ans sont obèses, et sont exposés à des risques tels que le diabète ou les maladies cardiovasculaires, dont le coût annuel est aujourd’hui d’environ 150 milliards de dollars.

Ce plan prévoit de "fournir une coordination optimale" entre les agences du gouvernement fédéral pour combattre l'obésité.

Face à cette attitude volontariste et très activiste on ne peut que s’incliner et surtout regretter que notre pays en soit encore à attendre que le rapport d’une commission «Théodule» supplémentaire (dont le rapport a été rendu début décembre 2009 au Président de la République) débouche sur des mesures concrètes , somme toute logiques et de bon sens qu’il est urgent de prendre.

Trois mois c’est déjà trop long.

Madame Obama, qu’attend-t-on pour suivre votre exemple ?




DOCUMENTATION


Le site du programme "Let's move" [en Anglais]

Michelle Obama meets with lawmakers to discuss childhood obesity

Michelle Obama milite contre l'obésité des jeunes Américains

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7 février 2010 7 07 /02 /février /2010 20:00
Le 16 mai 2009, Magor Imre Csibi, député européen roumain, le UK National Obesity Forum (NOF) et l'Association belge de patients obèses (BOLD) ont lancé une enquête en ligne concernant la Journée européenne contre l'obésité. Les objectifs de cette enquête visaient à mesurer l’importance que cette épidémie peut avoir aux yeux des européens.
 
La Belgique et le Royaume-Uni veulent ainsi travailler en profondeur sur les difficultés vécues au quotidien par les personnes en surpoids ou obèses en créant la première édition de la journée européenne contre l’obésité qui se tiendra donc le 22 mai 2010.
 
Selon Magor Imre Csibi,  « la lutte contre l'obésité est une priorité pour l'Europe en matière de santé publique et il est important d'encourager les patients obèses et en surpoids dans toute l'Europe à faire un pas en avant et à exprimer leurs opinions. Pour ce faire, nous avons lancé une enquête en ligne sur le site www.obesityday.eu afin de mieux comprendre comment aborder les besoins et les préoccupations de ces individus. »

Les mesures prises jusqu’alors s’avèrent insuffisantes. Mettre l’accent sur une meilleure nutrition est pertinent, tout comme l’est l’exercice physique le plus souvent prôné, mais ces mesures sont souvent dissociées. Et il reste tant à faire. Donner la parole aux obèses revient à leur accorder une reconnaissance qu’ils n’ont que partiellement, souvent sous un angle stigmatisant. 

De plus, cette journée de lutte permettra de reconnaître de façon beaucoup plus avérée que l’obésité est une véritable maladie, au même titre que toute autre pathologie. Qui plus, est, l’OBOBS s’en est souvent fait écho, allant dans le sens des propos du président de la BOLD, Jean-Paul Allonsius, président de la BOLD, qui déclare: « Il est également nécessaire de clarifier et de rendre plus cohérent le marché des produits amincissants, en mettant l'accent sur la garantie de l'efficacité de ces produits. »

Tout le monde comprend en général les défis sociaux, sanitaires, psychologiques, sportifs, nutritionnels que revêt l’obésité mais la prise de conscience de l’ampleur grandissante voire galopante du phénomène n’amène pas pour autant à de véritables réponses globales telles que celle que l’OBOBS propose.

En prenant appui sur une communauté de médecins, et de professionnels spécialisés, en fonction de leurs activités, dans la lutte contre cette maladie, cette journée de lutte s’annonce comme un point fort dans la reconnaissance de la maladie mais au-delà, des malades.

Les malades, sur www.obesityday.eu, peuvent témoigner de leur histoire, apporter des éclairages sur leur façon de vivre leur obésité. Et ce problème, on ne le répètera jamais assez concerne de plus en plus de monde : « Ce problème a triplé en l'espace de deux décennies seulement, et nous estimons que cette zone comptera l'année prochaine (2010) 150 millions d'adultes obèses (20 % de la population) et 15 millions d'enfants et d'adolescents obèses (10 % de la population) si aucune mesure n'est prise. Aujourd'hui, entre 30 % et 80 % des adultes présentent une surcharge pondérale dans la plupart des pays. » dit www.obesityday.eu.

Rendez-vous est donc pris. Agir devient une nécessité de santé publique. 




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  • : OBOBS : Observatoire de l'Obésité
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La Fédération Française de Cuisine Amateur est partenaire de l'Observatoire de l'Obésité (ObObs) pour la mise en place de l'opération le "Cirque des Légumes", sous le patronage de  la Mairie de Paris.

 

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